L’état refuse avant tout qu’une puissance étrangère prend le contrôle du groupe ADP, l’appel d’offres est ouvert à tous mais l’état peut poser ses conditions, puisqu’il s’agit d’un bien stratégique.
Le groupe Vinci qui possède déjà 8% du capital pourrait bien racheter une majorité des parts ce qui en ferait un géant français des aéroports, puisque l’état veut réserver une partie à l’actionnariat populaire.
Cette privatisation pourrait coûter jusqu’à un milliard d’euros à l’état, mais en vertu de la loi l’état peut et doit protéger le groupe contre investissements étrangers indésirables, ce que le Maire a déjà confirmé.