Aéroport de Rennes: Les premiers travaux s’achèvent fin juillet

Les premiers travaux lancés à l’aéroport de Rennes se terminent fin juillet prochain, selon l’annonce de la préfecture, la métropole et la Région.

Après l’abandon du projet d’aéroport à Notre-Dame-des-Landes en janvier 2018, la ville se lance dans la rénovation l’aéroport rennais situé à 120 km de celui de Nantes, plus important en terme de trafic passagers, ce qui rend encore plus important son développement. L’aéroport prévu pour accueillir 700.000 passagers/an, avait atteint son maximum en 2018 avec l’accueil de 850.000 passagers.

Une augmentation de 70% est prévue dans sa capacité de stationnement, avec notamment 200 places et 450 emplacements supplémentaires d’ici la fin de l’année 2019. Ce qui va augmenter la capacité de l’aéroport, qui doit adapter cela avec une croissance prévue à 15% par an.

Des vols long-courriers au départ de Rennes

Actuellement, il est impossible de lancer des vols vers New York, Shanghai, Beyrouth ou Delhi directement au départ de l’aéroport de Rennes. Il est impératif de passager par d’autres aéroports pour cela, comme Roissy ou un autre hub aérien français ou européen.

La situation devrait changer à partir de 2021, grâce notamment à des travaux de re-surfaçage de la piste et la reconfiguration des raquettes de retournement. Les travaux de “réfection et de mise aux normes de la piste” vont débuter en mars 2020, qui coûteront 9,6 millions d’euros.

L’aéroport pourra après accueillir des avions de type A-350-1000 ou B-777X de 350 sièges, qui pourront effectuer des vols long-courrier. L’opportunité est offerte aux compagnies aériennes qui décideront de proposer, ou pas, des vols long-courrier.

Le problème de stationnement sera réglé d’ici la fin du mois prochain, comme précisé au dessus. A terme, ce sont 650 places supplémentaires qui seront disponibles avant la fin 2019.

Nouvelles surfaces pour l’aéroport de Rennes

dans le cadre de son développement, l’aéroport bénéficie de 9 hectares que l’état possède, considérant qu’une cession gracieuse reste plus appropriée qu’un transfert de gestion. Cela va permettre des travaux d’extension pour garantir la capacité d’accueil et d’adaptation de l’aéroport à long terme.

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